La “Women House” est une association visant à créer un espace de réflexion, débat, créativité pour les femmes à travers des événements mensuels et des recommandations culturelles. Nous, un collectif de 5 femmes engagées sur les sujets d’égalité hommes/femmes, souhaitons permettre à toutes les femmes de faire un pas de côté par rapport à leurs vies professionnelle et personnelle. Dans cette newsletter mensuelle, vous trouverez notre humeur du moment, nos prochains évènements, et nos coups de cœur culturels.
Chères toutes,
Quel est le point commun entre une semaine sans wifi, un atelier d’ennéagramme entre associées et un dîner Women House sur le thème du couple et de l’égalité ?
Ce sont trois expériences que j’ai vécues récemment. Trois temps suspendus qui m’ont permis de sortir du mode “pilote automatique” dans lequel nous sommes si souvent embarquées. Des bulles de recul, de respiration, de reconnexion.
Le wifi qui lâche et le temps qui revient
Pendant les dernières vacances scolaires, nous arrivons en famille à la campagne. Ce sont des vacances “à moitié” : mon mari y installe son bureau pour la semaine, et de mon côté, j’avais prévu de travailler un peu chaque jour pour préparer mes coachings.
Sauf que… surprise : plus de wifi, pas de réseau mobile. Petit moment de panique : tout mon planning s’effondre. Et puis une petite voix intérieure me souffle : râler n’y changera rien, le wifi ne reviendra pas cette semaine. Cette contrainte allait devenir une donnée.
Alors j’ai fait avec, plutôt que contre. Grâce au téléphone de mon mari transformé en modem, j’ai pu travailler quelques heures chaque matin. Le reste du temps : pas de notifications, pas de sollicitations, pas de pression. J’ai lu, j’ai dormi, j’ai joué avec les enfants, j’ai pris le temps de vivre.
Et c’est là que quelque chose s’est passé.
Parce que oui, on sait toutes que trop de connexions nous coupent du présent. On sait que nos cerveaux ont besoin de silence. On sait que ralentir fait du bien.
Mais entre le savoir et le vivre, il y a un monde.
Tant qu’on ne l’a pas vraiment vécu dans son corps, dans son rythme, dans son rapport au temps… ça reste une belle idée. Une intention.
Pour moi, cette coupure involontaire a tout changé : j’ai senti mes journées s’allonger. J’étais là, vraiment là. Apaisée, présente, connectée à moi, aux autres, à ce qui compte.
Et ça m’a rappelé que ce que je croyais “savoir”… j’avais encore besoin de l’incarner.
Un dîner Women House comme un pas de côté
Le dernier dîner-débat Women House, sur le thème du couple et de l’égalité, a eu le même effet que cette semaine sans wifi : une mise en pause bienvenue du quotidien, de nos automatismes, de nos convictions parfois trop vite posées.
Le temps d’une soirée – brillamment introduite par Clara Moley – nous avons exploré ce terrain sensible, intime et universel à la fois : comment conjuguer amour et égalité ? Qu’est-ce qu’on revendique dans notre vie professionnelle, et qu’est-ce qu’on reproduit malgré nous dans notre couple ?
Certaines ont réalisé qu’un fossé pouvait exister entre les valeurs que l’on porte fièrement à l’extérieur, et ce que l’on accepte ou perpétue dans notre sphère privée. Nous avons partagé nos prises de conscience, nos essais, nos ajustements, nos petits “hacks” du quotidien pour désamorcer nos vieux réflexes (“je vais le faire, ce sera plus simple, plus rapide, mieux fait…”).
Mais ce qui m’a le plus marquée, c’est la douceur du regard porté sur soi et sur les autres. Pendant quelques heures, nous nous sommes écoutées, avec lucidité, humour et bienveillance.
Et ce regard-là, cette suspension du jugement, ouvre des espaces précieux. Pour questionner, pour ajuster, pour parler avec l’autre – parfois pour la première fois de certains sujets.
Ce soir-là, nous n’avons pas trouvé de réponses parfaites. Mais nous avons posé les bonnes questions. Ensemble.
Et ça aussi, ça reconnecte. Et à en croire vos retours enthousiastes (merci pour ça!), cela vous a plu!
Un off-site Women House pour mieux se relier
Il y a un mois, nous avons pris une journée à cinq, entre associées Women House. L’objectif : penser l’avenir, imaginer de nouveaux formats, ajuster notre vision.
Avant de produire, organiser, planifier, nous avons décidé de nous arrêter. De prendre le temps de nous dire, de nous écouter, de mieux nous comprendre.
C’est Lauriane qui a ouvert cette journée avec un atelier Ennéagramme, un outil de connaissance de soi qui décrit neuf profils, chacun fondé sur une motivation profonde. Ce que ça a permis ? Mieux saisir les besoins, les réactions, les angles morts de chacune. En un mot : fluidifier. Éviter les malentendus. Apaiser les crispations.
Mais au-delà de l’outil, ce que je retiens, c’est l’état dans lequel nous étions ensuite : plus reliées, plus légères, plus enthousiastes. Nous avons rêvé, partagé nos élans, notre envie de faire évoluer Women House. La joie de faire ensemble était palpable. Et cette joie-là, elle ne se décrète pas. Elle se prépare, elle se cultive. Ce jour-là, elle est née du soin mis dans le lien.
Ce n’est donc pas un hasard si l’atelier Ennéagramme nous a suivies tout le week-end, jusque dans nos discussions familiales… et qu’on a décidé de le proposer à la communauté Women House l’année prochaine.
Un moment pour apprendre à se connaître autrement. Et pour ouvrir, là encore, un nouvel espace de compréhension et de transformation.
Alors, êtes-vous plutôt le type 1, 2, 3… ou 9 ? 😉
En cette période qui file à toute vitesse jusqu’aux vacances d’été, je vous souhaite de cultiver les petits moments suspendus.
Ceux où l’on se déconnecte pour mieux se reconnecter.
Ceux où l’on prend le temps, pour de vrai.
Et surtout, ceux où l’on ressent la joie – la vraie, celle d’être là, ensemble.
Les projets Women House…
Et puis, entre nous, cette énergie que nous avons retrouvée ces dernières semaines, elle nourrit déjà la suite.
À la rentrée, nous continuerons plus que jamais à créer ces espaces précieux pour réfléchir, s’inspirer et partager entre femmes (et parfois, avec des hommes!).
Nous avons envie de resserrer les liens, et d’ouvrir ensemble des conversations sur des sujets parfois plus sensibles, toujours essentiels.
On vous en dit plus très bientôt…
Marie-Emeline
Pssst… Pour celles qui ne nous connaissent pas encore, je vous glisse une photo prise lors de notre off-site.
Je trône fièrement au premier rang, au centre, en rouge.
À ma droite : Anne-Sophie ; à ma gauche : Margot.
Au second rang, de gauche à droite : Sarah et Lauriane.
Ravie de vous dévoiler les visages de cette équipe de choc, sans qui rien de tout cela ne serait possible 💫
✨ Les évènements à venir
Juin
💲Mardi 18 juin – Dîner-débat : Les Femmes et l’Argent – Entre autonomie et ambition (Suite à un désistement, il reste 1 place! —> par ici)
Nous avons la chance de recevoir pour ce dîner, Valérie Lion, rédactrice en chef de ViveS Media, « le premier média des femmes qui osent parler d’argent, parce que l’argent est le premier outil d’émancipation économique et financière ».
L’argent reste un enjeu clé de l’égalité femmes-hommes : comment dépasser nos freins, assumer nos ambitions et reprendre la main sur nos choix financiers ?
Juillet
🤝🏼 Mardi 22 juillet – Ranger la maison avant l’été
(Pour vous inscrire → par ici)
Avant de plonger dans le tumulte de l’été, nous vous proposons une pause constructive : un moment pour regarder ce que vous avez traversé depuis janvier,
reconnaître ce que vous avez accompli,
faire de la place,
et planter quelques graines pour la rentrée.
Pour cela, nous vous guiderons à travers différentes propositions :
écriture, dessin, photolangage, respiration...
On piochera dans tout ce que nous avons à disposition pour vous aider à faire ce petit point avec vous-même, en fonction de vos envies et de vos besoins.
Pas de pression, pas d’obligation de partage : juste un espace doux, pensé pour vous.
Et... on vous fait bientôt une face cam spéciale sur Instagram 🎥 😄
A partir de 19h30, détails sur le lieu à venir!
On a hâte de vivre ce moment suspendu avec vous!
🌟 La soirée de rentrée Women House – Save the date ! 🌟
📅 Mercredi 17 septembre, c’est le retour de notre rendez-vous phare : une soirée de rentrée placée sous le signe des retrouvailles, des connexions, des good vibes… et de quelques surprises !
Nous réunirons une soixantaine de femmes pour un gathering exclusif, où nous dévoilerons le programme Women House de l’année. Comme toujours, on vous promet une ambiance chaleureuse, une assiette gourmande et de qualité, des cocktails et vins sympas, et ce petit supplément d’âme qui fait toute la différence.
📍Le lieu ? Un peu de mystère… Faites-nous confiance, on s’occupe de tout 🍷✨
🎟️ Les places sont limitées : bloquez votre agenda et réservez vite la vôtre par ici !
❣️Nos coups de coeurs culturels
🎧J’ai envie d’écouter
Podcast THUNE, des journalistes Anna Borrel et Laurence Vély “Revers et bonnes affaires d’une vendeuse hors pair” (par Margot)
Vous connaissez peut-être déjà Marine Bibas, aka Pepita_skirring sur Instagram. Pepita a fait de sa spécialité la vente de sacs et bijoux de luxe, exclusivement sur Insta. Dans son personnage de bourgeoise cagole, drôle et détestable juste comme il faut, elle met en scène des objets de luxe à la perfection. Dans ce podcast, Marine nous parle de la genèse de Pepita, née lorsqu’elle s’est retrouvée veuve à 40 ans avec 2 jeunes enfants et sans emploi. Elle évoque également son enfance, les débuts de sa vie professionnelle, son manque de confiance en elle, son rapport à l’argent. Pepita a l’art de raconter des histoires, de rire et dédramatiser des situations complexes et épreuves de la vie.
Podcast Osons investir pour agir “Comment j’ai investi dans la culture” (par Margot)
“Osons investir pour agir” est une mini-série du podcast “Osons l’oseille”, de Valérie Lion, journaliste inspirante et notre intervenante-experte pour le dîner de ce mois de juin lors duquel nous parlerons d’argent.
Dans cet épisode, Kelly Santos nous parle de son parcours d’investisseuse, mais surtout de son investissement engagé dans la plateforme de films et docus féministes on.suzane. Pour Kelly, investissement doit rimer avec impact, éthique, mixité. Ce qui l’anime, c’est accompagner la fondatrice d’on.suzane, Eve Simonet. Son moteur, la confiance: elle place autant son argent que sa confiance. Sa vision de l’investissement engagée est inspirante, sereine et donne envie de se lancer !
Podcast Noldy is trendy, de Mathilde Thillaye du Boulay “Angela, de Pizza Hut à l’ONU: le pouvoir de la résilience” (par Margot)
Angela Naser est d’origine syrienne et libanaise. Elle est arrivée en France au début des années 80. Sous les injonctions familiales, elle a tenté médecine, qu’elle n’a pas réussi. Elle s’est rabattue sur un BTS Commerce international, et un diplôme en marketing. Elle débute sa carrière comme manager chez Pizza Hut, puis gravit les échelons chez General Electric. Dans cet épisode, elle nous parle de ce qui l’a guidée tout au long de son parcours: la volonté d’apprendre et l’optimisme. L’important pour elle, c’est d’être challengée et remise en question par ses équipes, afin de s’améliorer en continu. Elle ne recrute que des personnes meilleures qu’elle, dans un objectif d’apprendre. Elle se forme tous les ans sur des nouveaux sujets. Aujourd’hui, elle est CFO pour l’ONU et Directrice de Women in Tech France. Elle est inspirante par son optimisme, sa sincérité, et sa simplicité.
Podcast Les C**** sur la table, de Victoire Tuaillon, Supporters de foot, au stade de la violence : interview de Ludovic Lestrelin, auteur de « Sociologie des supporters » aux éditions La Découverte (par Lauriane)
Comme beaucoup, j’ai été perturbée par les événements intervenus le samedi 31 mai après la victoire du PSG. D’un côté, on a vu des hommes verser des larmes de joie et prononcer des phrases aussi intenses que « C’est le plus beau jour de ma vie », comme si seul le contexte du football autorisait les hommes à libérer et exprimer leurs émotions. Ont-ils dit ça le jour de leur mariage ou de la naissance d’un enfant ?!
D’un autre côté, on a assisté à une explosion de violence qui a entraîné la mort de deux personnes et un nombre conséquent de commerce vandalisés – alors qu’il s’agissait de célébrer une victoire. Qui étaient-ils ? des supporters ? des individus de passage ayant profité de l’euphorie pour exprimer leur colère ? ou une violence gratuite ?
Le sujet est vaste, et ce podcast nous donne de nombreux éléments pour comprendre la mécanique des supporters. Il nous explique comment les stades sont devenus les « fiefs de la masculinité » au sein desquels les chants ont pour objet de disqualifier sexuellement l’adverse avec des injures homophobes, qui sont les supporters, comment leur « soutien » aux équipes a évolué au cours de l’Histoire.
A partager avec des hommes pour avoir leur avis !
📖J’ai envie de lire
Le bal des folles, Victoria Mas (par Margot)
Dans la newsletter précédente (Echappée, #21 - Mai), nous vous parlions du roman d’Adèle Yon, “Son vrai nom est Elisabeth”. Si ce roman vous a plu, vous apprécierez d’autant plus “Le bal des folles”, premier roman de Victoria Mas sorti il y a quelques années déjà - mais nous ne nous lassons pas d’en parler.
Nous sommes en 1885, à Paris. De nombreuses femmes voient leur destin brisé par leur enfermement injuste au sein de l'hôpital de la Salpêtrière. Ces dernières sont appelées par le tout Paris “les folles”, bien que souvent internées pour avoir exprimé des émotions vives suite à des abus, dérangé l’odre social ou encore manifesté un désir d’émancipation. Nous suivons en particulier Eugénie, jeune femme vive, intelligente et révoltée par l’injustice. Loin d’être folle, elle est faite enfermée dans ce lieu par son père, après avoir découvert le secret de sa fille qu’il juge non compatible avec une vie dans une famille bourgeoise catholique.
Un roman percutant sur la lutte des femmes pour exister et la façon dont tout pouvait leur être ôté sans consentement.
Epoque, Laura POGGIOLI (par Sarah)
Laura Poggioli suit Lara, une trentenaire en reconversion professionnelle, qui effectue un stage dans une unité d’addictologie pour adolescents. Elle y rencontre des jeunes confrontés à une dépendance aux écrans : isolement, phobie scolaire, troubles du comportement. Au fil de ces consultations, un écho personnel surgit : Lara est hantée par une relation passée avec un homme qui, par messages et images, a exercé une forme de harcèlement numérique et de manipulation émotionnelle.
À la croisée du récit intime et de l’enquête sociale, Époque explore la manière dont nos vies sont façonnées — et parfois abîmées — par les technologies. Dans une langue tendue, précise, Poggioli met en lumière les mécanismes de l’emprise numérique, les liens toxiques qui perdurent en ligne, et la solitude accentuée par l’hyperconnexion.
Un sujet qui nous parle à tous, et très utile pour gérer les situations qui touchent nos enfants.
Les bouchères, Sophie Demange (par Lauriane)
Au décès de son père, Anne hérite de sa boucherie à Rouen. Déterminée à reprendre l’affaire, elle s’associe avec Stacey, une ancienne camarade de CAP au parcours cabossé – toutes deux ayant affronté ensemble le sexisme du métier. Elles sont vite rejointes par Michèle pour former un trio de choc au sein d’une boucherie à la décoration peu conventionnelle qui détonne dans ce quartier bourgeois de Rouen. C’est alors que commencent les disparitions, sans traces, de plusieurs hommes du quartier… Les bouchères deviennent rapidement la cible de tous les soupçons et des ragots.
Un roman à la fois joyeux et engagé, célébrant la force de la solidarité féminine.
👀J’ai envie de voir
David Hockney à la Fondation Louis Vuitton (par Marie-Emeline)
Dans l’écrin magnifique de la Fondation Louis Vuitton, cette exposition généreuse et joyeuse nous plonge dans l’univers de David Hockney, retraçant toutes les périodes de sa création, de 1955 à 2025.
On y traverse ses paysages fétiches – la Californie, la Normandie, l’Angleterre – mais aussi de nombreux portraits de ses proches, comme autant de fragments d’intimité colorée.
C’est l’exposition la plus foisonnante jamais consacrée à l’artiste, entièrement pensée et scénographiée par lui.
On y découvre aussi la diversité de ses techniques au fil des décennies : peinture, dessin, photographie, iPad... Une vraie leçon de liberté créative !
La scénographie est immersive, vive, accessible. Et cerise sur le gâteau : un parcours audio est proposé aux enfants, pour une visite en famille tout en plaisir.
Bonne nouvelle : vous avez encore trois mois pour aller la voir.
À ne pas manquer !
La mini-série Querer sur Arte (par Sarah)
Après 30 ans de mariage et deux enfants, Miren dépose une plainte pour viol conjugal récurrent, accusant son mari d’abus sexuels.
Cette décision déchire la famille : les fils sont confrontés à un dilemme — soutenir leur mère ou croire en l'innocence du père alors que la vie du couple paraissait tranquille.
On est très vite secoué par la position d’un des fils qui veut convaincre sa mère de retirer sa plainte en affirmant que son père n’était peut être pas un bon mari mais que les conséquences d’une plainte seraient désastreuses... La mère tient tête et ne lâche pas, jusqu’au procès.
La série développe avec finesse ce qu’est le viol conjugal - sujet important et actuel sur lequel les pays légifèrent de plus en plus. Et nous interroge sur notre rapport au consentement et à la vérité.
Le Bourgeois Gentilhomme à la Comédie-Française - Molière mis en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq (par Marie-Emeline)
Vous pensiez connaître Le Bourgeois Gentilhomme ? Cette version-là va vous surprendre — et vous ravir.
Le duo Valérie Lesort et Christian Hecq, magiciens du théâtre visuel, signe une mise en scène inventive, fantasque et follement drôle du grand classique de Molière.
Avec leur univers singulier mêlant marionnettes, effets spéciaux et trouvailles scénographiques, ils transforment le salon de Monsieur Jourdain en un terrain de jeu jubilatoire.
Les costumes sont extravagants, les décors ingénieux, et la musique de Lully revisite joyeusement le texte original dans toute sa richesse.
Un vrai spectacle total, accessible à tous, qui mêle tradition et modernité avec un sens du rythme et du burlesque délicieux. On rit, on s’émerveille, et on redécouvre la finesse sociale de Molière à travers une mise en scène ultra contemporaine.
Un conseil : réservez vite, c’est un succès annoncé (ou déjà confirmé) à la Comédie-Française !
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Merci de nous lire. La Women House, c’est un espace pour vous. Si vous avez des envies, ressentis, suggestions, nous sommes toutes ouïes! Et si vous pensez que ces quelques lignes ou nos événements pourraient plaire autour de vous, partagez-nous!
Prenez soin de vous.
La Women House